Au jour le jour 128

Nous mettons le mois de mars et son cortège de lilas dans le jus des effluves assurées de trouver un public de nonnes perverses qui au comble des eucharisties croient que les encolures de Dieu brûlent au vent local chères tacheronnes débitrices de crimes et délits qu'elle ramènent aux élus siégeant parmi les objets trouvés et les bosquets genre panneaux côtelés de velours rêche lorsque nous prenons à gauche sur la porte qui s'ouvre sur la passe nous nous retrouvons en quatre jours d'études sur le tapis des déambulations des noctambules et des mézolos qui ont gerbé des créances dépréciant littéralement les nouveaux journaux appelés doctrines du dimanche que les célibataires balisent dans le cousinage des équations la pédérastie des pieuvres les chiffons pairs et impairs selon endroit où l'on se trouve puis le vent le feutre des ans.

Aujourd'hui qu'ils veulent un mieux ambré comme une ardoise nous sommes sous le coup du feu et entendons que nous sommes redevables des alpestres aux Cardons ce peuple vaudevillesque qui vit sous les arbres tels des culs-de-jatte dévoyés sans sensation tout comme les androphages qui par groupe de cinq ou six nous demandent des nouvelles de cette fête où des femmes ont dévoyé le linge des morts avec leur entrejambe cinglante comme en un ultime rendez-vous avec des géants dans l'attente d'une glose chtonienne et c'est ligne droite que nous courons serrés pour mettre en oeuvre un corps dont on ne voit plus les niveaux tant ils sont des vagues détaillées tels des oriflammes au taux zéro du misérabilisme où nous ont conduit nos céphalées le rouge de notre colère de notre monde que nul ne peut plus contenir pas même ces convives qui ont  eu à faire avec des piégeurs et leurs nocturnes cartoucheries leurs cédilles et leurs guillemets secondaires qui vont jusqu'au doute et jusqu'au bout de nos doigts.


Le nom de cette ville où l'on enferme la vague des impolis pris sur le champ et sur le compte impropre des loufoqueries est Demoxyl elle se note en cris et en rappels en trouvailles sans rapport avec le grand livre de la guerre lorsque nos pas ont entamé dès levant l'histoire des pistes informes barbouillées de sang et de mensonges cet orient qui se joint au plus loin ramassé d'ancêtres inglorieux  ne mène plus à la densité d'un public plein de rodomontades et qui s'endort avec ses doutes et ses fresques putrides puisqu'il est à en vouloir l'endiguement du sort celui qui se rapetisse au point d'évoquer une Baalbeck lascive avec ses cohortes de dangers de démons défroqués que Vaquelin nommait momentum dans le vaste lit des contes où l'on doute encore et encore de toutes ces rencontres qui sont des sortes de canons bourrés de géorgiques à base de violet de cyan de jaune comme une maraude pleine de faux espoirs puis les anges les ogives les bourreaux.