Au jour le jour 502

Nous voilà entrés dans un siècle qui ne s'interroge plus sur l'enfer qu’il a généré,et qui se maintient dans ses répugnantes positions.

Entré dans la vie en fanfaron, j'en ressortirai avec une chemise blanche, des guêtres et un révolver.

Nous mettons toujours Dieu où il est le moins bien à sa place, dans nos propensions à le voir partout.

Écrire et de l'ordre d'une tyrannie à son encontre, si je m'écoutais je répéterais ceci jusqu'à satiété.

On vit toujours au plus près des autres, quitte à s'éloigner de soi.

La compréhension du monde passe par tout ce que nous devons lui restituer.

J'ai très tôt pressenti que j'allais mal tourner, bref, en rond !

Tant d'années à nous déshumaniser à vue d'œil, dans un festival d'intermittences.

Vivre dans l'ennui, survivre dans ce même.

Pas un seul instant où je n'ai ironisé contre moi, extrême fatuité.

Nous ne nous étonnons pas de vouloir vivre en communauté, la communauté c'est toujours une imitation de ce qui nous sert le mieux.

Ce qui se passe en dessous de nous est toujours dans une impasse.

Le bonheur, c'est toujours être dans la peau et le corps d'un idiot ou d'un transfuge, les deux d'ailleurs garantissent de la durée du romantisme et de la niaiserie de nos existences.


La souffrance est difficile à comprendre dès lors qu'elle n'est pas suspecte.

Si je m'étais moins fréquenté, je me serais pendu.

Le sérieux est toujours frappé d'un mystérieux déséquilibre qui sitôt disparu nous fait voir par  où nous sommes faillibles.

Je fourmille d'idées, c'est dire que je me complique l'existence.

La décence serait de mourir sans n'enquiquiner personne.

L'ivresse, quelle belle  trouvaille, elle me fait joindre les mains, une fois jointes, je ne peux plus écrire.

Fait de couches successives, l'homme rayonne en l'absence de lumière, et dans celle-ci ,c'est un comique et un cynique sans aucun substrat qui nous apparaît avec sa face de déshérité de la matière.


On s'exerce à la vie sa vie durant, c'est ce qu'on appelle une interrogation.

L'homme  naît libre, ah bon, que l'on me donne une seule et exacte illustration de ce poncif et je n'en fais plus mon ennemi.

Je solderai ma vie à mes points les plus faibles, c'est-à-dire chaque jour.

La vérité, il est inutile de continuer à me la formuler, je sais qu'elle ne me convient pas, cela seul est vérité.

Plus je vais  dans l'existence, plus j'ai envie d'être inutile, oui mais comment ?

Je fais peu cas de tous ces verticaux à ressorts que sont les hommes, empêchez les de sautiller, ce sont des vers qui vont consulter.

Prendre une bonne décision c’est un peu comme passer une nuit blanche, on s'assoupit après l'avoir prise.

A chaque âge correspond un vide plein de nombres et de poisons, c'est l'âge avec son cortège d'essoufflements et de contrefaçons.


L'amour ne m'aura pas racheté de l'avoir racketté pour une entrevue avec la beauté.


La  lucidité c'est de penser bifidement avec son cerveau.

Étalez-vous, devenez centenaires, prisonniers d'un corps qui n'a eu de modèle que son suivant, que son suiveur.

À chaque pas que je fais j'ai le sentiment que celui-ci me conduit dans une légitime déchéance.

les dimanches sont les lointains successeurs de ce temps où l'on riait,  pleurait,  priait, pour pouvoir mieux s’en passer.

Rien n'existe de ce qui arrivera trop tard ou trop tôt sinon le sens donné à la mort.

Quelle chance d'avoir l'occasion d'être sans avoir à balbutier.

Toutes les formes de néants sont dans l'homme et dans la somme des essais qu'il fait pour arriver à des conclusions insanes.

Mon esprit est toujours en quête d'un remède qu’on ne trouve pas les pharmacies.


Ma suffisance est un statut,  mon insuffisance une philosophie.

Poursuivi par de l’être, ma décision est prise je ne veux pas devenir.

Être dans le coup c’est toujours une histoire de proportion, et l’on y est obligé jusqu'à nos plus sales et plus obscènes des naïvetés.

Un être vertueux est hilare de ses dégringolades.


D’ici à demain tant de désertion, tant de capitulation, et n'y être pas prédisposé.

Parfois dans mes contusions et confusions mentales je deviens un aboulique de certitudes et j'en vomis.

L’assujettissent spirituel je le laisse à ceux qui croient et croissent...

Mon courage est un déferlement d'insipides contradictions.

J’en veux à toutes les formes de musique de faire un  remue-ménage dans ma mémoire et ceci  jusqu'à me soutirer des larmes et des sources d'émotions sans spiritualité.


Je me démène tant et tant que le temps m'est un adversaire enragé et cela bien plus que moi, et qui me scinde en deux, d'un côté un moribond qui s’aplatit, de l’autre un duelliste va au pré.


J'ai la nette sensation que tous les lendemains sont des suites et des quintes aux mains d’un tricheur qui a une dextre  dans son dos.

N’être plus qu'un atout dans la main des tricheurs.

Épargnez-moi vos commentaires et vos opinions, les miennes émergent sur fond de dépotoir.

J'opte pour Dieu faute d'être dans la sauvegarde de quelqu'un d'autre et de bien plus.

J'attribue à d’autres des tromperies proportionnelles aux miennes, me voilà un homme avec son statut d'indisposé à tout.

On cesse d'être un extravagant sitôt que la normalité est une extravagance.

Pour peu qu’on en vienne là où est, et bien on n’est nulle part.

Qu'un seul élan me manque pour en finir avec la vie et j'y consens avec le rire gras de ceux qui dans l'orgasme ou l'expond un vide plein de nombres et de poisons, c'est l'âge avec son cortège d'essoufflements et de contrefaçons.


L'amour ne m'aura pas racheté de l'avoir racketté pour une entrevue avec la beauté.


La  lucidité c'est de penser bifidement avec son cerveau.


Étalez-vous, devenez centenaires, prisonniers d'un corps qui n'a eu de modèle que son suivant, que son suiveur.


À chaque pas que je fais j'ai le sentiment que celui-ci me conduit dans une légitime déchéance.


les dimanches sont les lointains successeurs de ce temps où l'on riait,  pleurait,  priait, pour pouvoir mieux s’en passer.


Rien n'existe de ce qui arrivera trop tard ou trop tôt sinon le sens donné à la mort.


Quelle chance d'avoir l'occasion d'être sans avoir à balbutier.


Toutes les formes de néants sont dans l'homme et dans la somme des essais qu'il fait pour arriver à des conclusions insanes.


Mon esprit est toujours en quête d'un remède qu’on ne trouve pas les pharmacies.


Croire puis se détacher de la croyance, un grand pas dans les intervalles que Dieu met entre chacun de nous.


Ma suffisance est un statut,  mon insuffisance une philosophie.


Poursuivi par de l’être, ma décision est prise je ne veux pas devenir.


Être dans le coup c’est toujours une histoire de proportion, et l’on y est obligé jusqu'à nos plus sales et plus obscènes des naïvetés.


Un être vertueux est hilare de ses dégringolades.


D’ici à demain tant de désertion, tant de capitulation, et n'y être pas prédisposé.


Parfois dans mes contusions et confusions mentales je deviens un aboulique de certitudes et j'en vomis.


L’assujettissent spirituel je le laisse à ceux qui croient et croissent...


Mon courage est un déferlement d'insipides contradictions.


J’en veux à toutes les formes de musique de faire un  remue-ménage dans ma mémoire et ceci  jusqu'à me soutirer des larmes et des sources d'émotions sans spiritualité.


Je me démène tant et tant que le temps m'est un adversaire enragé et cela bien plus que moi, et qui me scinde en deux, d'un côté un moribond qui s’aplatit, de l’autre un duelliste va au pré.


J'ai la nette sensation que tous les lendemains sont des suites et des quintes aux mains d’un tricheur qui a une dextre  dans son dos.


N’être plus qu'un atout dans la main des tricheurs.


Épargnez-moi vos commentaires et vos opinions, les miennes émergent sur fond de dépotoir.


J'opte pour Dieu faute d'être dans la sauvegarde de quelqu'un d'autre et de bien plus.


J'attribue à d’autres des tromperies proportionnelles aux miennes, me voilà un homme avec son statut d'indisposé à tout.
On cesse d'être un extravagant sitôt que la normalité est une extravagance.


Pour peu qu’on en vienne là où est, et bien on n’est nulle part.