Au jour le jour 440

Étalons nos  visions en flammes avec le sort fiable de l'enfance absurde ,dès le grand vague de la prière et la  de prise en compte dégoûtante des alouettes que l'on plume,  des rossignols chanter qui chantent avec le compte des cris des clés,  le rappel de trouvailles, ces rapports avec le grand livre de la guerre ,de la vie, nos peines ne  seront appliquées que par l'entame d'un jeu de cartes qui valaient le rôle accident par les rues adjointes  à  d'autres oriflammes ,dans d'autres membres ,et cette cécité qui vous vient n'étaie pas votre corps moqueur ,voilà ce que c'est de vous ma pensée aux sales lendemains, j'y crois encore, mais aucun pas  ne m'assiste plus dans au bord du gré ,et le le plus absurde est m'endormir à son tube , à son étiage, nul doute qu'aujourd'hui je suis dans le vouloir de l'habillement, de l'annihilation, dans la longe prise sur un ingambe cheval cagneux,  répertoire du mauvais maréchal, mis à mon propre poids, je  cherche encore   par l'encombrement l'accord du bonheur de vous revoir ,  je sais pas dire autrement, c'est pourquoi  dans le grand lit de mon amertume ,entièrement je vous cherche jusqu'aux draps blancs ,livides ,propres ,par votre  rencontre j'aimerais tant relier ma  base à ce qui fut...

Où peut-elle à être la bonne élève que je muai ,raccommodai sans cesse pour parvenir à sa compagnie ,celle de la louve qui s'éteint dans les  détroits des  désirs ramenés à une condition des plus féodales, à  moi-même ,et de cette femme honnête qui sut faire le dos rond quand je lui demandais , qu'ai je à quémander encore,mieux assis à ma gauche qu'à ma droite, avec un petit bout d'intuition, de petites lettres agréées de l'environnement  dans lequel je suis, je lui demande de n'aller plus sur le gravier de la montagne avec de faux  dialogues qui  s'ouvrent surtout à ceux  qui ont le visage close sur les paroles qui lui étaient destinées impunément dans l'odieuse inertie de croire qu'elle les trouverait  parallèles à son enfance, tout en concentrant ses propres paroles sur mes antiennes,  et voici comment dire au revoir à ses  surfaces, ses plénitudes de  femme, vous-même les rectifierez  avec des reliefs d'évidence , ceux de ma croisière cramoisie, synonyme d'une absence évidente ,de ma messagerie , voyez-vous je vous aime ,je vous aime encore comme ce Goliath  perclus de force et de solitude ,s'il y a eu  un triomphe , ce n'était pas le mien,parviendrez vous à moi un jour,  je crains de ne vouloir imposer quoi que  ce soit et  qui donnerait le goût du ciel et de la sérénité lacée à vos hautes altitudes, celles  de l'introspection en surface dans l'offre, le souffre ,l'ombre,et bien entendu vous bête ancestrale.

Bonjour Joseph

Oh c'est tout simplement une confrontation brutale entre cultures...celle de la Hongrie toute en batailles, aride, résistante et porteuse des valeurs humaines les plus essentielles et d'autre part celle de la bourgeoisie parisienne élevée dans le coton, enfermée dans ses futilités et une certaine étroitesse de vues.
 
C. le plus jeune de mes fils s'est marié et du même coup il a épousé la pente glissante des conventions et des traditions qui président à ce genre de cérémonie...avec la débauche de fric qui va avec (demoiselles d'honneur, armée des témoins en queue de pie, rouge pour la mariée, vert pour le marié, voiture de sport à la sortie de l'église, fringues de marques, grande réception et traîne blanche etc...)...Nous avons été étrangers à tout cela...et même financièrement nous n'avons pas pu prendre part. Le sentiment "d'exclusion" était donc assez fort.
 
K.a assez mal vécu cette expérience renouvelée deux samedis de suite...Impression d'être en décalage et aussi sans doute sentiment de voir C. (qu'elle a vu grandir avec affection) sacrifier à des rites de façade où l'authenticité des sentiments n'avait guère de place et disparaissait dans une sorte de brouillard...(du moins en apparence)
K. est droite et tournée en permanence vers la recherche d'une certaine densité des sentiments...Dans ces deux expériences elle n'a vu qu'un jeu et un univers de composition...pire, elle ne connaissait pas la partition qu'on lui demandait de jouer.
 
Voilà, demain nous fêtons son anniversaire, simplement, avec un repas fait par L.T. et moi et le soir la surprise d'un super concert de jazz. Cela ira mieux.
 
 
Je t'embrasse,
 
Daniel



Nous étions tous  maladroits, mal  entendus,  le jus des saisons tordues asséchaient nos membres aux  kilométrages croissant à l'encolure des bêtes brûlantes ,tiers isolés , pleins de torches, riant des tours secondaires, armés contre les locaux aux objets traversés par les arbres de mensonges et laids, les bosquets du genre paresseux avec des panneaux pleins  de velours côtelé, nous marchions, puis lorsqu'il le fallait  de gauche à droite, on  nous rapporta du n'importe quoi, nous fîmes  l’étude du rhume ,des étraves ,de la lecture qui trouble , moi je saisis vos nuits avec une utopie plutôt qu'avec  mes reculades de culture, mes calebasses mes colimaçons, et c'est là que je vous aperçus comme inappropriée, conjoncture nouvelle, une pomme de poésie littéralement bien nommée et posée sur ma tête de pleutre,  en tant que  frauduleuse avec un discours  capable d'un après , vous voulûtes mes crevaisons, oui je sais l'appréciation de mon calvaire est d'un deuxième tome, celui de la conciergerie, du covoiturage, de la liberté de la sixième lettre qui vient après la mue du tome quatre , ma lubie de questionner, avec des intentions dire de la psalmodie  vous fut d'indifférence,et vous chiffriez par  pair et impair, selon corps à porter à l'envers, ce qui nous divisait avec mon petit énervement ,vous m'avez scellé,vous êtes à mon manque, et je m'apercevrai toujours que ce mot est le manque lui même.


Aujourd'hui qui vaut mieux que demain parce que certains le veulent, nous sommes sous le coup du faire  du désert où nous attendons le pire qui devra de se dire sur le multiple des  centièmes, avec le carrousel des  images, et tous les sens, et toutes les centrifugeuses qui ont parcouru les nouvelles du sens de cette fille qui fut femme échevelée, exempte avec une lenteur devant de morts debout, insipides , ne sera qu'une fugacité de plus,et les rendez- ne seront plus qu'un point sur la géante gaze latente de l'enseignement, en  avril  je marche sous le couvert des plantes , ouvreuses de paix,je m'y mets avec mes œuvres et avec avec un corps impur, c'est à ce niveau-là , loterie  avec l'équation de Kaléri,que je cherche à me me cajoler en un intérieur qui conduit de la céphalée au dur devenir de devenir, le rouge est de plus en plus rouge,  nul ne sait à quel point je consens à venir à  un sens ,un seul,  revanchard, que tout sourire, ressemblance, dissemblance ne me mènent plus à celle qui arriva dans ma vie sans sonner à ma porte,net de mon propre  modèle , je suis toujours avec vous dans ce que vous avez vu de moi, ceci m'est aide,  que de cette parole me viennent un guide, une gourmandise, courbé devant je veux encore avancer, cela vous le savez est une genèse d'un  moment ,vouloir préciser autre chose est tout autre...

Je ne parle pas du sentiment et des sensations accrues, pertinentes ,qui vont jusqu’à l'alarme et à son intention , je parle de l'émoi qui m'occupe ,me préoccupe indifféremment  à ce qui sert au monde, le bien n'est à mes yeux qu'une  boule ,un œuf à cocon pendouillant sur des estrades carbonifères qui ne serviront à rien, et moi toujours vermoulu ,molesté par le feu de mes embryons ,de mes carillons mal façonnés ,mal acquis ,voilà que je me sers d'un air d'éthylène ,d'arsenic cramoisi qui brûleront mes nerfs,  mes cellules, me  mettra poli  dans chaque idée qui vaudra autant   que les portes  de Dante qui vont à l'essentiel de  l'existant,  mais exister est un stratagème, un programme digne d'une rédemption ,d'une réduction, et cela engendre un  pire lorsque je me demande ce que je pratique le mieux ,je réponds à celui qui m'assure que la vie est un blasphème que mon incorruptible sentence va au dévotement contre lequel je me suis acquis.


Lorsqu'on me demande ce que je pratique mieux, je réponds l'amour, l'obscénité de l'amour, mais pas n'importe quel, celui qui est un remède contre toutes les nations imbéciles .Je vous ai  souvent dit que ce n'est qu'une version particulière que  celle de verser des pointes n'importe où, c'est un peu de mon sang qui coulerait par les paupières,intermédiaire entre les deux, et c'est ainsi que j'ai vécu dans l'immédiateté, dans le privilège de me livrer, de mettre à nu sans l'avoir voulu.Plus je m'engage dans les mots, plus je m'engage dans les  langueurs de l'homme, ce muet qui voudrait ressentir mes os jusqu'à ma naissance sans avoir porté plainte.

Les rats sont d'autant plus avec les incendies qui sont faibles  dans la prairie sans lumière qui filtre par-dessus le secret qui va de demain en demeure acquise, moi  incrusté et qui tremble, j'entends par là disposer de maisons frémissant à l'abri d'un peuple de nomades, de béton, et les plaques que j'y matricule porteront plus que le monde des pieuvres vaines et  inventives, acquises aux éclats, et leur manière de microbes béats feront frissonner nos étoiles à nous perdre sous vers les paumes indiscrètes là où Dieu n'est électrique qu'avec ses rayons , ses intentions de croire que rien n'est éclaboussé dans la note du corps d'un oublié , et moi client superbes j' indiquerai que celui que tu voudrais d'une largeur ,d'une longueur, qui ne correspondent pas  à la mienne, qu'il aille se faire foutre sous tes échafauds et échafaudages.

C'est un  dixième de goudron de papier, loi en jeunesse à l'aide à l'ouest orientée dans le ponant où s'établissent les prix continuent de l'herbe,avec leur continent de soleil sous les parapluies ouverts à de poudreuses saisons, les partisans franchissent sous le blanc du ciel avec les acabits de l'eau, de l'or , les dimanches de la perturbation imbécile ,merdier de la vie acquise avec la  bénédiction des  déterminés de la vie qu'il faudrait , fallait  chouriner sur  le sable ,avec des doigts dans le nez ,et si je  pense à mal parmi les égrillardes nettetés de la vie , c'est que je considère que rien ne s'établira à l' intérieur de moi  qui suis assujetti au plus profond de la substance pour participer à la docte douleur de broyer ma tête, mes intestins jusqu'à la conscience de cet avertissement et que je montre.

Quels  petits plus vous ont  poussé pour de plus vastes certitudes  en cette possession qui était de moi,la voici inédite et finale dans le gris pressé de se  vouloir comme un cerveau sans fioriture aucune ,sur les tables des prières,la vie est  ce qui sert  ce rappel calme à l'oubli par la séduction des défaillances,des tolérances qui s'enfoncèrent dans la fente des compromis,l'heure ne fut plus de pastorale hausse dans l'amertume de l'automne, numériser la façon des notes qui sont informes fut mon bruit qui semblait un   avertissements introduits en  ces espaces  sonores, éclaboussés par le poids de ma  tumeur, et combien s'appauvrirait mon être, combien je me désolais dans le plus vaste des appartements qui va du bilan à la relève et à l'image d'une immense face que jamais me je  n'aurais pu envisager comme  terrifiante,  et qui fit de vous une dame d'un entrelacs et d'une future rupture dont je n'aurais pu faire la belle ,avec les sirènes et leurs plaintes , seulement la voici aussi terrible que la morale ou la fumée  mes épilepsies ,et dans ces  traînées de moustaches dans les bouches graves  et de misère orangée avec les écorces du mal contre le ciel qu'il que je me jette hors de l'eau avec les écrevisses écrabouillées dans les forteresses de leur héroïne, moi qui ne voulais que vous répartir vers un nouvel abécédaire, je me brûlai de ces consonnes c,'est vrai, et à étaler mes abruptes amazones, à l'insane sotte et folle anomie des rues dans les filets de  mon vocabulaire à scandales , je perdais tout,je crains aujourd'hui de ne plus avoir  le temps d'un garrot dans le ciel, et bien qu'une épitaphe, une seule sépare ces ignobles regrets de l'allégresse est le bruit que je fais chaque jour lorsque je mets non pas dans votre pas, et cela qui compte comme un corps entier.


Fille d'un poisson et d'un  poignard et contre sa béatitude , me voilà sorti de là où il était bon de  dire  que c'était mon mon cerveau.Quoique l'an n'a plus l'odeur du plus haut bûcher, que celui pourrait contre le dernier esclave  faire s'esclaffer des chevaux , je suis le survivant pieds nus,me voilà qui reviens avec mon dernier couteau contre les poils d'un  fléau ,ce montant de mes amours transitoires, dans le loup qui  dort à trois reprises dans le fleuve déclamé,et qui dit qu'il ne sera plus au nord avec son naturel adéquat, et moi qui ignorai l'indécence de votre corps avec ses êtres pesés qui furent jetés par la fenêtre telles les humeurs parvenues aux noires mains qui couronnèrent les contorsions des femelles appelées à la voirie par la voix d'un incendiaire,je fus plus contrôlé par la douleur des chantiers ,voici de mon négatif de l'existence dans mes chardonnerets que je laisse piaffer à mers fenêtres,je vous appelle une  fois  encore de complet comparable, une liste malvenue à mes mains, qui ne secrètent  ni talent, ni grandeur, ni décadence, pas de droit décidé pour le défaut des hommes conclus dans l'annonce du plus loin de tous les contreforts, là où fut ma boisson la plus austère ,la plus amère aussi et qui émettait par ses rayons rouges de subir la concession qui va de cinq à six voyelles à disposition d'un vieux crétin minutieux ,méticuleux , et qui n'était plus dans votre mouvement de lire, dans celui de la blonde qui lutte et que je n'atteignis pas...