Au jour le jour 428


A ce roi borgne qui représente l'unique éloge du sel plein la bouche, j'exprime mes saisons dans le sens établi, là où se fonde la présomption au grand doute, la première attaque eut lieu dans la vallée des morts, chaque signe étain un oiseau géant, celui qui est invisible à l'invisible face, cet autre aimera le chemin d'un rapport précédent, savoir le prix du sang fluorescent est parlant, les consignes sont des bandes de couleurs cachées sous les aisselles, et beaucoup qui s'est répandu hier en de faux campement,et dont il reviendra plus lourd est une âme vagabonde, je vais en homme libre à une destinée sans pouvoir. Il est des parties d' incendies réceptrices d'indésirables flammes altérées, les plus particulières vont aux artifices,aux nouvelles fréquences, aux épines qui viennent des empreintes d'une ambassade céleste, maîtresse d'accalmie,et qu'on nomme comme une parente.

La mémoire des soins et du son arrive après sa loi,elle savoure ces agrégats d'agate et d’émeraude, partout des habits lui sont seyants et si des roses sont envoyées à son service, c'est la que je m'établirai, à son cours. Debout nécessairement, enfant de chœur, prédisant de fractionner les autres qui me je régalaient les doigts d'une tutelle d'écorce , je me prêtais alors à ce terrestre monde. Ce qui est à dire, je ne le dis pas, sauf à quelques-uns que je ne sais pas, si j'ai de nouvelles procédures, je n'y procède pas, c'est une chienne de façon que de voir la vie en amende, si on m'aime, je n'aime pas, en deux temps , trois importants mouvements j'avance mollement vers le cycle des saisons tourmentées, les assauts sont dans la joie ou le rappel, ici l'obscurité est plus chère lorsque je la regarde par le soupirail, là où j'ai fait glisser un chat à la cave avec une corde au cou, il n'est pas mort, et ce fut bon signe. Un ancien laveur de la mer en de ses moments de froides sentences avait la voix des vagues ,des lames et des embruns, il me dit d'écouter de l'autre ses constructions que l'eau rongera,et je l'entendais avec ses puissantes notes et qui restaient fécondes dans mes invisibles présences du passé,moi ma route n'était pas encore nommée, et même si j'y allais à grands pas, j'ignorais si ma cécité me mènerait là où on meurt proprement, parmi de belles âmes qui franchissent les cieux rougeoyants et qui n'ont aucune porte.
.
Il est des parties d' incendies réceptrices d'indésirables flammes altérées, les plus particulières vont aux artifices,aux nouvelles fréquences, aux épines qui viennent des empreintes d'une ambassade céleste, maîtresse d'accalmie,et qu'on nomme comme une parente. La mémoire des soins et du son arrive après sa loi,elle savoure ces agrégats d'agate et d’émeraude, partout des habits lui sont seyants et si des roses sont envoyées à son service, c'est la que je m'établirai, à son cours. Debout nécessairement, enfant de chœur, prédisant de fractionner les autres qui me je régalaient les doigts d'une tutelle d'écorce , je me prêtais alors à ce terrestre monde.

Ce qui est à dire, je ne le dis pas, sauf à quelques-uns que je ne sais pas, si j'ai de nouvelles procédures, je n'y procède pas, c'est une chienne de façon que de voir la vie en amende, si on m'aime, je n'aime pas, en deux temps , trois importants mouvements j'avance mollement vers le cycle des saisons tourmentées, les assauts sont dans la joie ou le rappel, ici l'obscurité est plus chère lorsque je la regarde par le soupirail, là où j'ai fait glisser un chat à la cave avec une corde au cou, il n'est pas mort, et ce fut bon signe. Un ancien laveur de la mer en de ses moments de froides sentences avait la voix des vagues ,des lames et des embruns, il me dit d'écouter de l'autre ses constructions que l'eau rongera,et je l'entendais avec ses puissantes notes et qui restaient fécondes dans mes invisibles présences du passé,moi ma route n'était pas encore nommée, et même si j'y allais à grands pas, j'ignorais si ma cécité me mènerait là où on meurt proprement, parmi de belles âmes qui franchissent les cieux rougeoyants et qui n'ont aucune porte.

J'ai toujours aimé couper la queue des lézards, vu quelle repousse,j'ai toujours aimé coupé les plumes des canards,vu qu 'elles repoussent, les poils sous les aisselles de ma femme, vu qu'ils repoussent, j'ai souvent songé à couper la tête à bien des hommes et des femmes, légalement,telle celle de F de X ,du pioncelaid ,ou de la cacuistot,ou d'un DRH,voire de ce fils de prude qu'est ... ,mais ça c'est une autre histoire.

A nulle autre que toi je ne donnais le sens de l'équivoque,aussi à le trouver tu t'opposais aux fleurs et aux fleuves, les replis de leurs voiles étaient dans ton sang,et dans les mauvaises compagnies hormonales accumulées aux collines assiégées par de nouveaux corps,les nouvelles de d’hier n'avait rien de frais; et pour le sujet qui recevait les hommes priant un destin maître,il fallait des détails pour jouer dans de francs délais, moi je pourrissais avec mon habit à mon invisible face à la fréquence d'un pourquoi irréprochable, comme une présomption d'école primaire, mon désir est beaucoup plus lourd que ce petit parvenu qui est ton amant, je retiens ta hauteur, et les croissances insurmontables, le grand profit de la terre mêlé à mon poumon mal adressé.