Aujour le jour 417

Étalons nos visions en flammes avec le sort fiable de l'enfance absurde ,dès le grand vague de la prière et la de prise en compte dégoûtante des alouettes que l'on plume, des rossignols chanter qui chantent avec le compte des cris des clés, le rappel de trouvailles, ces rapports avec le grand livre de la guerre ,de la vie, nos peines ne seront appliquées que par l'entame d'un jeu de cartes qui valaient le rôle accident par les rues adjointes à d'autres oriflammes ,dans d'autres membres ,et cette cécité qui vous vient n'étaie pas votre corps moqueur ,voilà ce que c'est de vous ma pensée aux sales lendemains, j'y crois encore, mais aucun pas ne m'assiste plus dans au bord du gré ,et le le plus absurde est m'endormir à son tube , à son étiage, nul doute qu'aujourd'hui je suis dans le vouloir de l'habillement, de l'annihilation, dans la longe prise sur un ingambe cheval cagneux, répertoire du mauvais maréchal, mis à mon propre poids, je cherche encore par l'encombrement l'accord du bonheur de vous revoir , je sais pas dire autrement, c'est pourquoi dans le grand lit de mon amertume ,entièrement je vous cherche jusqu'aux draps blancs ,livides ,propres ,par votre rencontre j'aimerais tant relier ma base à ce qui fut...


Où peut-elle à être la bonne élève que je muai ,raccommodai sans cesse pour parvenir à sa compagnie ,celle de la louve qui s'éteint dans les détroits des désirs ramenés à une condition des plus féodales, à moi-même ,et de cette femme honnête qui sut faire le dos rond quand je lui demandais , qu'ai je à quémander encore,mieux assis à ma gauche qu'à ma droite, avec un petit bout d'intuition, de petites lettres agréées de l'environnement dans lequel je suis, je lui demande de n'aller plus sur le gravier de la montagne avec de faux dialogues qui s'ouvrent surtout à ceux qui ont le visage close sur les paroles qui lui étaient destinées impunément dans l'odieuse inertie de croire qu'elle les trouverait parallèles à son enfance, tout en concentrant ses propres paroles sur mes antiennes, et voici comment dire au revoir à ses surfaces, ses plénitudes de femme, vous-même les rectifierez avec des reliefs d'évidence , ceux de ma croisière cramoisie, synonyme d'une absence évidente ,de ma messagerie , voyez-vous je vous aime ,je vous aime encore comme ce Goliath perclus de force et de solitude ,s'il y a eu un triomphe , ce n'était pas le mien,parviendrez vous à moi un jour, je crains de ne vouloir imposer quoi que ce soit et qui donnerait le goût du ciel et de la sérénité lacée à vos hautes altitudes, celles de l'introspection en surface dans l'offre, le souffre ,l'ombre,et bien entendu vous bête ancestrale.

La médecine de l'existence n'est qu'une occasion de vous guérir de votre état de pianiste à cerveau d' acteur qui est encore méconnu à toutes les portes, alors même qu'il s'est engagé à se poser en moribond, à un instant malséant dans un salon ou sur une carpette de feuilles,moi j'ai décidé de me soumettre à une nouvelle nuit,à la note requise et sale qui est un pacte avancé vers l’apothéose,j' y établirai ma demeure en carrière pleine de verres telle une flotte limitée, je m'abandonnerai à son éventail de branches,et l'ensemble des parents seront écœurés par ma position de dormir, là où tout est des rondeurs qui attestent des petits pas, je me décernerai des écus, lorsque mon amie, pas encore debout amorcera pendant un mois sur un ton rédempteur,celui de rabatteurs nervurés, solides, délicats puisqu'ils se saisiront du communard à la droite de mon corps et le poseront en copie pour en faire l'étude.

Je retrouverai un fragile amour dans son estaminet d'argent, reposant sa carcasse pour la contenir jusqu'à la mort, dans son petit jardin qui s'accommode de manuscrits feuillus ; ce palimpseste en italiques , ces écritures liées et mises dans toute sa pudeur. Je crois que moi-même à ses conseils, tant qu'ils ne me débordent pas sur mes terrasses poignantes,je ne me méprenais pas ,encore récemment, et pour cause de réadmission dans sa villa qui a de la graine vivace, elle me plaçait dans une cage en bois pour un départ, où je devrais compter compter les moments où se mêlaient les hommes et les bêtes,il advint de moi, d' innommables mouvements,et à l'automne , cet animal invertébré ,j'étais entre la rupture et le barrage sentimental qui tournait toutes les têtes, et à regarder l'homme dans ses incendies, je me dis que c'est la nuit qui rend tout invisible, du moins de mes étapes.

Rudimentaires, élémentaires ,minérales sont les saisons, et les lettres immédiates sont ouvertes dans l'absorption du temps à les dire, l'homme qui va de le par le monde s'ouvre à une nouvelle invitation, celle de participer, tailler le dans jour avec des avis et des débats, ce tapis de fleurs, la musique d'être traduit l'étranglement de toutes les premières personnes mal nommées, les secondes à présent sont dans le bouillon , moi je me suis mis dans une enfance élaborée, à passages. Voilà pourquoi, dans le rapprochement, l'abandon forcé de de tous les miens, mes partenaires,mes amis, famille, puent l'émoi brutal du sentiment, moi je m' attaque à leur tintamarre, comment sont-ils eux ,d'une brutale altérité,avec de la peur aussi, en grisaille qui se dit d'elle-même dans une langue romane. À la brider dans la posture d'un visagiste supérieur, tout emmitouflé de ses scories de cramoisi,je vois mes feuillets venir à ta porte après la défaite des volets qui claquaient au jour signalé , à procéder ainsi, je ne te séduirai pas, mais de dire déraisonnablement, ça commencerait soit bien, soit mal entre nous.

Quels petits plus vous ont poussé vers de plus vastes certitudes en cette possession qui était de moi,la voici inédite et finale dans le gris pressé de se vouloir comme un cerveau sans fioriture aucune ,sur les tables des prières,la vie est ce qui sert ce rappel calme à l'oubli par la séduction des défaillances,des tolérances qui s'enfoncèrent dans la fente des compromis,l'heure ne fut plus de pastorale hausse dans l'amertume de l'automne, numériser la façon des notes qui sont informes fut mon bruit qui semblait un avertissements introduit en ces espaces sonores, éclaboussés par le poids de ma tumeur, et combien s'appauvrissait mon être, combien je me désolais dans le plus spacieux des appartements qui va du bilan à la relève et à l'image d'une immense face que jamais je n'aurais pu envisager comme terrifiante, et qui fit de vous une dame d'un entrelacs et d'une future rupture dont je n'aurais pu faire la belle ,avec les sirènes et leurs plaintes , seulement la voici aussi terrible que la morale ou la fumée de mes épilepsies ,et dans ces traînées de moustaches dans les bouches graves et de misère orangée avec les écorces du mal contre le ciel que je me jette hors de l'eau avec les écrevisses écrabouillées dans les forteresses de leur héroïne, moi qui ne voulais que vous répartir vers un nouvel abécédaire, je me brûlai de ces consonnes c'est vrai, et à étaler mes abruptes amazones, à l'insane sotte et folle anomie des rues dans les filets de mon vocabulaire à scandales , je perdais tout,je crains aujourd'hui de ne plus avoir le temps d'un garrot dans le ciel, et bien qu'une épitaphe, une seule sépare ces ignobles regrets de l'allégresse est lebruit que je fais chaque jour lorsque je mets non pas dans votre pas, et cela compte comme un corps entier.



Fille d'un poisson et d'un poignard et contre sa béatitude , me voilà sorti de là où il était bon de dire que c'était mon mon cerveau.Quoique l'an n'a plus l'odeur du plus haut bûcher, que celui pourrait contre le dernier esclave faire s'esclaffer des chevaux , je suis le survivant pieds nus,me voilà qui reviens avec mon dernier couteau contre les poils d'un fléau ,ce montant de mes amours transitoires, dans le loup qui dort à trois reprises dans le fleuve déclamé,et qui dit qu'il ne sera plus au nord avec son naturel adéquat, et moi qui ignorai l'indécence de votre corps avec ses êtres pesés qui furent jetés par la fenêtre telles les humeurs parvenues aux noires mains qui couronnèrent les contorsions des femelles appelées à la voirie par la voix d'un incendiaire,je fus plus contrôlé par la douleur des chantiers ,voici de mon négatif de l'existence dans mes chardonnerets que je laisse piaffer à mers fenêtres,je vous appelle une fois encore de complet comparable, une liste malvenue à mes mains, qui ne secrètent ni talent, ni grandeur, ni décadence, pas de droit décidé pour le défaut des hommes conclus dans l'annonce du plus loin de tous les contreforts, là où fut ma boisson la plus austère ,la plus amère aussi et qui émettait par se s rayons rouges de subir la concession qui va de cinq à six voyelles à disposition d'un vieux crétin minutieux ,méticuleux , et qui n'était plus dans votre mouvement de lire, dans celui de la blonde qui lutte et que je n'atteignis pas...

Nous étions tous maladroits, mal entendus, le jus des saisons tordues asséchaient nos membres aux kilométrages croissant à l'encolure des bêtes brûlantes ,tiers isolés , pleins de torches, riant des tours secondaires, armés contre les locaux aux objets traversés par les arbres de mensonges et laids, les bosquets du genre paresseux avec des panneaux pleins de velours côtelé, nous marchions, puis lorsqu'il de gauche à droite on nous rapporta du n'importe quoi, nous fîmes l’étude du rhume ,des étraves ,de la lecture qui trouble , moi je saisis vos nuits avec une utopie plutôt qu'avec mes reculades de culture, mes calebasses mes colimaçons, et c'est là que je vous aperçois comme inappropriée, conjoncture nouvelle, une pomme poésie littéralement bien nommée et posée sur ma tête de pleutre, , en tant que frauduleuse avec un discours capable d'un après , vous voulûtes mes crevaisons, oui je sais l'appréciation de mon calvaire est d'un deuxième tome, celui de la conciergerie, du covoiturage, de la liberté de la sixième lettre qui vient après L du tome, ma lubie de questionner, avec des intentions dire de la psalmodie vous fut d'indifférence,et vous chiffriez par pair et impair, selon corps à porter à l'envers, ce qui nous divisait avec mon petit énervement ,vous m'avez scellé,vous êtes à mon manque, et je m'apercevrai toujours que ce mot est le manque lui même.

Aujourd'hui qui vaut mieux que demain parce que certains le veulent, nous sommes sous le coup du faire  du désert où nous attendons le pire qui devra de se dire sur le multiple des centièmes, avec le carrousel des images, et tous les sens, et toutes les centrifugeuses qui ont parcouru les nouvelles du sens de cette fille qui fut femme échevelée, exempte avec une lenteur devant de morts debout, insipides , ne sera qu'une fugacité de plus,et les rendez- ne seront plus qu'un point sur la géante gaze latente de l'enseignement, en avril je marche sous le couvert des plantes , oeuvreuses de paix,je m'y mets avec mes œuvres et avec avec un corps impur, c'est à ce niveau-là , loterie avec l'équation de Kaléri, je cherche à me me cajoler en un intérieur qui conduit de la céphalée au dur de devenir, le rouge est de plus en plus rouge, nul ne sait à quel point je consens à venir à un sens ,un seul, revanchard, que tout sourie, ressemblance, dissemblance ne me mènent plus à celle qui arriva dans a vie sans sonner à ma porte,net de mon propre modèle , je suis toujours avec vous dans ce que vous avez vu de moi, ceci m'est aide, que cette parole me viennent un guide, une gourmandise, courbé devant je veux encore avancer, cela vous le savez est une genèse d'un moment ,vouloir préciser autre chose et tout autre...

J'en veux aux heures de bouffer mes stylos ,moi je vous y versais des mots ou des façons d'isolé , de travailleur calfeutré dans sa fatigue et dans l'édition de la de prière ,la décision de la garderie brève fut prise par vous,là où vivent des larrons qui vont dans les divisions des contenairs insalubres, dédiés au premier qui a franchi la frontière, derrière nos souhaits du quartier de nos somnolences ,les soubresauts qui ne nous contenaient plus se relâchèrent de nos relations, et ce que je fis ,laissant les mots sur les morts de mon existence ,ne fut plus qu'une part de néant qui ne se prononce plus dans les opus , de plus les épitaphes sont faits pour clore, sceller une indicible outrance ,un mode d'extrémité ,je ne suis plus qu'au soleil de ce Dieu qui diffère de crever en tous lieux devant chacun ,ce fut ce père là qui me battit , tout comme sa femme toute entière, j'ai appris ce que la crapule ,la crapulerie veulent dire ,je fais de mon détachement tout entier des sottises que je devrais payer un jour ,là , ou par ailleurs où je pense le plus bas.

La médecine de l'existence sans qu'on lui donne l'occasion de nous guérir , fait de nous des pianistes acquis à une époque commise à toutes les portes ,dès lors même que l'on s'est engagé à sonner dans du côté des empereurs, du côté des moribonds ,et c'est ce que je fis maintes fois dans la carte et les feuilles, je voyais que nulle nuit n'était décisive à ma nocturne sentence ,le poids du sol est un pacte avancé vers les bosquets ou s'établit une carrière dans le repère des fluettes herbes sèches qui sentent un laisser incertain, abandonné sur l'éventail des branches accumulées par une garçonne pour la juste cause des plateaux d'ombres et d'ébriété, de rondeurs qui attestent que mon pouls bat encore la lèche délicate de la nocturne qui me secoue comme un trousseau de clés ,quand j'écarte de moi ce que je vis avec du bois mort dans mes mains de rabatteur nervurés,solides,adroites,et c'est ainsi que je devins un peu plus humain comme si je m'abandonnai à l'ordonnance de faire pour la gloire d'un roi qui défend de se retourner...

Zazie dans le métro

zazou dans le mépris

reprise touchée cachée

avec sa panoplie

schnitz ceinture ou bretelle

qui tiennent au pantalon

comme varices au sel

aux jambes de coton

joue l'habile sentinelle

aux créneaux soutenus

et ne sois plus fébrile

qu'aux coups de pieds au cul

chien aveugle qui chiale

aux solutions salines

qu'on foutut dans ton blair

en guise de naphtaline

et vas hurler ta ruine

aux lazzis quolibets

dans la bouches d'autres clebs

et qui sont aux arrêts.