Aujour le jour 415


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Quels petits plus vous ont poussé vers de plus vastes certitudes en cette possession qui était de moi,la voici inédite et finale dans le gris pressé de se vouloir comme un cerveau sans fioriture aucune ,sur les tables des prières,la vie est ce qui sert ce rappel calme à l'oubli par la séduction des défaillances,des tolérances qui s'enfoncèrent dans la fente des compromis,l'heure ne fut plus de pastorale hausse dans l'amertume de l'automne, numériser la façon des notes qui sont informes fut mon bruit qui semblait un avertissements introduit en ces espaces sonores, éclaboussés par le poids de ma tumeur, et combien s'appauvrissait mon être, combien je me désolais dans le plus spacieux des appartements qui va du bilan à la relève et à l'image d'une immense face que jamais je n'aurais pu envisager comme terrifiante, et qui fit de vous une dame d'un entrelacs et d'une future rupture dont je n'aurais pu faire la belle ,avec les sirènes et leurs plaintes , seulement la voici aussi terrible que la morale ou la fumée de mes épilepsies ,et dans ces traînées de moustaches dans les bouches graves et de misère orangée avec les écorces du mal contre le ciel que je me jette hors de l'eau avec les écrevisses écrabouillées dans les forteresses de leur héroïne, moi qui ne voulais que vous répartir vers un nouvel abécédaire, je me brûlai de ces consonnes c'est vrai, et à étaler mes abruptes amazones, à l'insane sotte et folle anomie des rues dans les filets de mon vocabulaire à scandales , je perdais tout,je crains aujourd'hui de ne plus avoir le temps d'un garrot dans le ciel, et bien qu'une épitaphe, une seule sépare ces ignobles regrets de l'allégresse est le bruit que je fais chaque jour lorsque je mets non pas dans votre pas, et cela compte comme un corps entier.

Fille d'un poisson et d'un poignard et contre sa béatitude , me voilà sorti de là où il était bon de dire que c'était mon mon cerveau.Quoique l'an n'a plus l'odeur du plus haut bûcher, que celui pourrait contre le dernier esclave faire s'esclaffer des chevaux , je suis le survivant pieds nus,me voilà qui reviens avec mon dernier couteau contre les poils d'un fléau ,ce montant de mes amours transitoires, dans le loup qui dort à trois reprises dans le fleuve déclamé,et qui dit qu'il ne sera plus au nord avec son naturel adéquat, et moi qui ignorai l'indécence de votre corps avec ses êtres pesés qui furent jetés par la fenêtre telles les humeurs parvenues aux noires mains qui couronnèrent les contorsions des femelles appelées à la voirie par la voix d'un incendiaire,je fus plus contrôlé par la douleur des chantiers ,voici de mon négatif de l'existence dans mes chardonnerets que je laisse piaffer à mers fenêtres,je vous appelle une fois encore de complet comparable, une liste malvenue à mes mains, qui ne secrètent ni talent, ni grandeur, ni décadence, pas de droit décidé pour le défaut des hommes conclus dans l'annonce du plus loin de tous les contreforts, là où fut ma boisson la plus austère ,la plus amère aussi et qui émettait par se s rayons rouges de subir la concession qui va de cinq à six voyelles à disposition d'un vieux crétin minutieux ,méticuleux , et qui n'était plus dans votre mouvement de lire, dans celui de la blonde qui lutte et que je n'atteignis pas...


Nous étions tous maladroits, mal entendus, le jus des saisons tordues asséchaient nos membres aux kilométrages croissant à l'encolure des bêtes brûlantes ,tiers isolés , pleins de torches, riant des tours secondaires, armés contre les locaux aux objets traversés par les arbres de mensonges et laids, les bosquets du genre paresseux avec des panneaux pleins de velours côtelé, nous marchions, puis lorsqu'il de gauche à droite on nous rapporta du n'importe quoi, nous fîmes l’étude du rhume ,des étraves ,de la lecture qui trouble , moi je saisis vos nuits avec une utopie plutôt qu'avec mes reculades de culture, mes calebasses mes colimaçons, et c'est là que je vous aperçois comme inappropriée, conjoncture nouvelle, une pomme poésie littéralement bien nommée et posée sur ma tête de pleutre, , en tant que frauduleuse avec un discours capable d'un après , vous voulûtes mes crevaisons, oui je sais l'appréciation de mon calvaire est d'un deuxième tome, celui de la conciergerie, du covoiturage, de la liberté de la sixième lettre qui vient après L du tome, ma lubie de questionner, avec des intentions dire de la psalmodie vous fut d'indifférence,et vous chiffriez par pair et impair, selon corps à porter à l'envers, ce qui nous divisait avec mon petit énervement ,vous m'avez scellé,vous êtes à mon manque, et je m'apercevrai toujours que ce mot est le manque lui même.

Je ne parle pas du sentiment et des sensations accrues, pertinentes ,qui vont jusqu’à l'alarme et à son intention , je parle de l'émoi qui m'occupe ,me préoccupe indifféremment à ce qui sert au monde, le bien n'est à mes yeux qu'une boule ,un œuf à cocon pendouillant sur des estrades carbonifères qui ne serviront à rien, et moi toujours vermoulu ,molesté par le feu de des embryons ,de mes carillons mal façonnés ,mal acquis voilà que je me sers d'un air d'éthylène ,d'arsenic cramoisi qui brûleront mes nerfs, mes cellules, me mettra poli dans chaque idée qui vaudra autant que que les portes de Dante qui vont à l'essentiel de l'existant, mais exister est un stratagème, un programme digne d'une rédemption ,d'une réduction, et cela engendre un pire lorsque je me demande ce que je pratique le mieux ,je réponds à celui qui m'assure que la vie est un blasphème que mon incorruptible sentence va au dévêtement dans lequel je me suis le plus mal requis.


Lorsqu'on me demande ce que je pratique mieux, je réponds l'amour, l'obscénité de l'amour, mais pas n'importe lequel, celui qui est un remède contre toutes les nations.Je vous ai souvent dit que ce n'est qu'une version particulière que celle de verser des pointes n'importe où, c'est un peu de mon sang qui coulerait par les paupières,intermédiaire entre les deux, et c'est ainsi que j'ai vécu dans l'immédiateté, dans le privilège de me livrer, de mettre à nu sans l'avoir voulu.Plus je m'engage dans les mots, plus je m'engage dans les langueurs de l'homme, ce muet qui voudrait ressentir mes jusqu'à ma naissance sans avoir porté plainte.

Les rats sont d'autant plus rats quand les incendies sont faibles dans la prairie sans lumière qui aurait dû filtrer par-dessus le secret qui va de demain en demeure acquise, moi incrusté et qui tremble, j'entends par là disposer de ma maison frémissante à l'abri d'un peuple de nomades, de béton, et les plaques qui portent un matricule achemineront plus que le monde des pieuvres vaines et inventives, acquises aux éclats, et leurs manières de microbes béats feront frissonner nos étoiles à nous perdre sous vers les paumes indiscrètes là où Dieu n'est électrique qu'avec ses rayons , ses intentions de croire que rien n'est éclaboussé dans la note du corps d'un oublié , et moi client superbe j' indiquerai que celui que tu voudrais d'une largeur ,d'une longueur, qui ne correspondent pas à la mienne, qu'il aille se faire foutre sous tes échafauds et échafaudages .

À d'autres que moi le naissante joie intarissable dont c'est le lourd fardeau. Avec les austères migrations, tous les peuples agiles de leur giration bourrue soufflent leur profil au profit des matières acclimatées avec des pères ingrats, grenades sur toile, chapelain par leur grille énorme aux étoiles sur lesquelles tu pleuras tes désirs anciens et trois fois mesurés comme la crampe des contacts mal acquis, avec leurs envergures de crasse, moi le soir je t'écris sur la défensive d'un mort, le noir luit de mon courroux le plus obscur, et la lampe éteinte a des offensives bleues sur ton corps moulé aux exclamations de mes mains qui s'allongent encore de grivoiseries à des jeux équivoques,plus je m'enfonce dans tes nobles mesures d'eau et de profondeur , tenu une nouvelle fois encore à la table de tes grandeurs et à ton cou que je laisse tomber , je me vois à tes nouvelles portes qui sont le toit de mes enfants surestimés.



Tous sont encore à l'entrée du foyer étoilé célestement de la sapinière avec sous le parapluie qui tremble encore des premières lueurs de ce septembre, moi qui en anniversaire voulut plus de toi ,tu te décidas à péter mes charnières derrière le dernier bois brûlé de toutes les sonorités entières parfumées par les bûches fines de la danse , du sang et de l'horreur ,de nos saisons fanées dans l'épaisseur du schnaps et des draps, d' ignobles mesures nous atteignirent avec des abords qui sortaient des becs de gaz où je me livrais de jour en jour pour des aspérités sans méthode ,d'abord avec certaines poignées ordurières comme la marque mise sur la marchandise de vivre sans la santé, et qu'on aurait jeté par-dessus les fleuves et les faunes et les flores, ou même dans les oriflammes mis à ton balcon désert ,état d'une défaite , de celle des anniversaires à talons dans l'oubli de moi-même qui ne fus en rien obscène et sans cervelle au large sourire du temps de mes études, ailleurs dans ce septembre mou, plat d'ouverture avec peu de souriantes filles que j'aurais voulues miennes jusqu'à la mort.

C'est un dixième de goudron de papier, loi en jeunesse à l'aide à l'ouest orientée dans le ponant où s'établissent les prix continuent de l'herbe,avec leur continent de soleil sous les parapluies ouverts à de poudreuses saisons, les partisans franchissent sous le blanc du ciel avec les acabits de l'eau, de l'or , les dimanches de la perturbation imbécile ,merdier de la vie acquise avec la bénédiction des déterminés de la vie qu'il faudrait chouriner sur le sable ,avec des doigts dans le nez ,et si je pense à mal parmi les égrillardes nettetés de la vie , c'est que je considère que rien ne s'établira à l' intérieur de moi qui suis assujetti au plus profond de la substance pour participer à la docte douleur de broyer ma tête, mes intestins jusqu'à la conscience de cet avertissement et que je montre.

Ordonné à la gloire d'une reine représentée lorsqu'on atteint le logis de sel et l'examen de la bouche annonciatrice de saisons violentes ou le genre s'établit, se fonde aussi la présomption des routes publiques , autant que sur la pudeur qui est un calme dans la vallée des morts et que chacun signe de son boulon d'orgueil ,un épi en bouche, de l'eau visible à l'invisible force à la face, et celui qui veut rester debout, il avancera dans un pays plat de balances, de signes brutaux, comme dans les bordels d'écume aux couleurs tachées telles des aisselles de sale tissu , de celui qui s'endort doucement suspendu à un fil retors, mais il est dans un campement où moi je ne digère pas une viande qui va à l'aube pourrissante, connue comme une attraction universelle de place coutumière ou l'acclamation des lampes est une main ouverte au devenir des découvertes, de celles que les hommes ébranlés évoquent dans de belles soirées, moi qui suis un être de temps,debout devant moi avec la cadence ,la mesure de contribuer avec l' auteur d'une enquête et d'un accord subalterne qui porte le nom du statut que j'ai, je me dois de regarder étroitement avec une crainte et un mal immenses dans les sciences impensables, entre la patience et la lourde inquiétude ou la peur des pointes et de dire non par le mal que je veux atteindre à mes bases.



La force des saisons mortes toi qui la fréquentes de tes monstrueuses capacités nocturnes, je te décris comme une sérieuse avenue convenable et maîtresse de ses bas régimes, et à quelques centimètres d'une puissance glorieuse qui fera valoir ta pérennité épineuse comme du sable, quoique tu n'aies plus le poids des mensonges ,de mes dessins qui passaient par les prises demandées aux jours les plus malsains, ce soir je suis lassé par l'esprit virtuel qui prend acte sur le retour gagnant de l'homme que je ne suis plus pour toi, et dans mes compléments je retrouve le chemin des témoignages de l'étranger que j'étais entre deux poids, vivre et crever, et le surplus de ton rire m'est d' incorruptible passion dans le rapprochement des années follement vives et pourrissantes.

Exister est inerte dans les enseignements et la lente entrée dans le mot a un sens différent selon que l'on soit soi ou poussiéreux, ou dans de nouvelles couches , celles des impatiences, moi qui ai mis maintes fois  les adages du siècle au feu de l'autre, dans la mesure, pour me damner au castelet courant des matous chafouins qui somment leur empereur de ne pas passer du plaisir à la jaunisse de cet exécrable appui de la vie, j'ai aujourd'hui un appartement vide où je m'adonne à une nouvelle fraude sans livre de mathématiques, seigneur des sciences infectes, détenteur d'un savoir sans étendue , encore alité, ma chère dominicaine, mon sang est si terrible qu'il ne t'entend pas, garde toi et reste forte de ne pas avoir de frondaisons pourrissantes,et que jamais tu ne te grandisses plus à mes yeux qui ne peuvent t'apercevoir.

J’appelle à l'ouverture le ventre mou de de nos sévérités indélicates ,j'installe à nos apertures les tripes de nos rigidités lentes à l'immuable tige que la mousse a poussé jusqu'à la promesse des résines au refuge du sel, comme un matériel qu'il faut appliquer à nos propres périmètres ,et la profession de vivre est dans le retrait le plus absolu ,dans l'imperméabilisation de nos propres outrances, celles qui ont été au centre de nos indifférences les plus difficiles et les plus grandes, comme autant de dés jetées au hasard sur les pistes centrales des bistrots mal fréquentés où d'autres que nous, levèrent un peu plus haut le coude qu'il ne ne fallait ,alors que nous roulions déjà sous les tables, ivres,grisés malades, malhabiles de ne savoir comment nous y prendre pour nommer toutes celles qui furent plus haut que nous dans leurs contrefaçons .

J'en veux aux heures de bouffer mes stylos ,moi je vous y versais des mots ou des façons d'isolé , de travailleur calfeutré dans sa fatigue et dans l'édition de la de prière ,la décision de la garderie brève fut prise par vous,là où vivent des larrons qui vont dans les divisions des contenairs insalubres, dédiés au premier qui a franchi la frontière, derrière nos souhaits du quartier de nos somnolences ,les soubresauts qui ne nous contenaient plus se relâchèrent de nos relations, et ce que je fis ,laissant les mots sur les morts de mon existence ,ne fut plus qu'une part de néant qui ne se prononce plus dans les opus , de plus les épitaphes sont faits pour clore, sceller une indicible outrance ,un mode d'extrémité ,je ne suis plus qu'au soleil de ce Dieu qui diffère de crever en tous lieux devant chacun ,ce fut ce père là qui me battit , tout comme sa femme toute entière, j'ai appris ce que la crapule ,la crapulerie veulent dire ,je fais de mon détachement tout entier des sottises que je devrais payer un jour ,là , ou par ailleurs où je pense le plus bas.

La médecine de l'existence sans qu'on lui donne l'occasion de nous guérir , fait de nous des pianistes acquis à une époque commise à toutes les portes ,dès lors même que l'on s'est engagé à sonner dans du côté des empereurs, du côté des moribonds ,et c'est ce que je fis maintes fois dans la carte et les feuilles, je voyais que nulle nuit n'était décisive à ma nocturne sentence ,le poids du sol est un pacte avancé vers les bosquets ou s'établit une carrière dans le repère des fluettes herbes sèches qui sentent un laisser incertain, abandonné sur l'éventail des branches accumulées par une garçonne pour la juste cause des plateaux d'ombres et d'ébriété, de rondeurs qui attestent que mon pouls bat encore la lèche délicate de la nocturne qui me secoue comme un trousseau de clés ,quand j'écarte de moi ce que je vis avec du bois mort dans mes mains de rabatteur nervurés,solides,adroites,et c'est ainsi que je devins un peu plus humain comme si je m'abandonnai à l'ordonnance de faire pour la gloire d'un roi qui défend de se retourner.