Au jour le jour 139

Les inutiles répétitions entourées de précieux fils ne sont pas des plaintes et plantes décoratives, ne vont plus aux prières efficaces, c’est déterminent certes, mais pas implacable, surtout lorsqu’on cherche à atteindre la parfaite oreille, celle qui va jusqu’aux étangs qui servent d’entre deux, et qui prennent un aspect blafard qu’on déplace vers le marteau, du coté du réservoir à grains où l’on peut entreposer ce qui nous rend fécond aux éthiques, cette version en miniature qu’on déplace minutieusement en divers endroits, notamment ceux qui sont propres à la moquerie, ceci n’a rien d’un enfermement, la bêtise a beau s’y enfoncer, elle ne restera sur place que le temps d’un effet d’annonce, pour le reste il suffit qu’on remplisse sagement nos papiers d’identité.

Le mauvais entrain el la longueur des mois ont un caractère ancien, aucun rayon pour un beau dessein, je suis plombé par de mauvaises dispositions, juste un cordon pour une hygiène d’où je compte tirer parti pour entrer dans la vague humaine qui va jusqu’au plus haut point du ciel, métal malléable comme ces arbres hargneux tendus sous la mitraille, mon expérience est doublée d’un pion qui fait du sur place, ce qui ne me rend pas svelte, je suis tel un emballage sous pression, auteur de ragots et de papotages qui vont jusqu’aux stèles et vasques mortuaires, ma musique est une absence de gêne, une ivrognerie de plus, cette nuit je vais lire un missel en commencent à la page quatre vingt trois.


La substance grasse et sucrée des tiges métalliques, ces fleurs d’opéra n’en finissent pas de déplaire à mes parents, proches inutiles et païens qui prennent un savon dans chaque trou de la vie et haïssent les enfants extrêmes, moi je végète grippé dans une interminable calomnie, écartelé entre des cases et des casiers, ou de monocordes cloportes s’orientent vers des culs bénits et sans aide mémoire, encore tout secoué d’être comme un agneau qui est dans sa langueur orientale avant l’égorgement, je me rapproche parfois d’harmonieux contours comme un reptile aux tissus décoratifs, la bouche en feu après de médiocres livraisons, j’assure toujours que le temps s’écoule pourvu d’un seul œil, sans souplesse dans ses règles, je ne veux pas jouer au plus malin avec mon estomac noué par les traîtrises, je ne possède que des piques qu’on ne peut pas diviser en deux pour en faire un rapport d’intellectuel.


Mes proches sont malhonnêtes et soutiennent à des professionnels de la conduite que celle ci est une manœuvre qu’on ne peut faire que dans une surface de réparation où d’autres souffrent comme en un désert où personne ne rajeunit, là où des barbares veulent défenestrer des filles nubiles dont la tentation n’a pourtant pas été à la nudité, moi je mise sur les chemins en pente lorsque je vais à la rencontre d’un vieil orthodoxe qui élève du bétail et se livre à de savantes messes dites dans un langue ancienne qui vaut par son susurrement, parfois un papillon granitique se pose sur son épaule, comme on met des rocailles dans ses mains pour les jeter sur des képis qui ont de la magnésie à la jugulaire, autant dire à la cervelle, c’est à ce moment là que je juge que devenir fou est d’un bel attrait rien qu’en pensant à une de mes plaintes ou à une ordalie.