Entre deux entreprises, le vivre et le mourir, notre programme est d’être,c’est une part  conclue d'un marché fait à notre naissance et qui va jusqu'à la défunterie, on a beau vouloir se défaire des fuseaux horaires, de notre propension à verser dans le standard, à vouloir rectifier nos autres nos petits empires pleins de pestilences, nous restons des substances qui militent en faveur d'un milieu sain, ce fonctionnement passe par la collecte d'informations situées à gauche et à droite de nos pariétaux, c'est un flux de données qui maintient notre cadre visible, notre figure humaine, si cela n'est pas de notre lot, nous écrivons à Dieu, nous prions, nous allons à confesse, appelons à l'aide un esprit quelconque, ce peut être un enfant, une femme, un intermittent de l'existence, bref ce secours que nous estimons-nous être dû n'arrive pas, et on crève de ces accommodements.

A la vitre globuleuse gantée comme un nombre impair va la petite cascade de perles ogivales prise dans les recoins des églises où on parle de la patience sans aucune stupéfaction, quiconque veut s'agglomérer aux verreries se doit d'avoir des alvéoles au cœur et d'autres dans les intestins, s'il n'en a pas, il est menacé d'une fermeture de gaz, c'est une forme de dominance, d'ultimatum, une vigueur, qui n'a pas de processus de paix, aussi les rhéteurs font dans le semblant des accolades et ceux qui s'étreignent démontrent que l'unité et la solidarité ont le visage frappé du même sceau,du même poing,d'autres qui sont dans l'union sont aussi sur la défensive, et le processus de paix est déjà une riposte anticipée qu'en fin de journée quelques-uns considèrent comme le pourcentage de leur propre contenue, il faut alors construire une barrière entre les hommes et ceux qui les esquivent, le tout finit sur des pelleteuses qui démolissent nos  demeures.

A  l'autre bout de la déception, une autre d'exception fermente, elle est  la source d'un goût amer conçue par de fausses idées qui nous défendent de mordre, alors nous glissons de notre centre vers des cochonneries ancestrales qui ont pour objet de nous rendre au roi d'un verger immobile, là où les abattements des chiens blafards, tendres et roses sont des loufoqueries, ce que nous faisons pour aller à la méthode c'est de nous servir d'un violon, de mettre une casquette, et d'aller dans les sentes oblongues trouver un évêque, chêne qui prie debout depuis mile ans, quand la nuit la déception est moindre on peut la chasser strictement en nous vêtissant d’un gilet orange, puis il s'agit de lâcher  les dogues  afin qu'ils débusquent que ce qu'il reste d’étincelles dans nos profondeurs, et si ne rien ne les met en alerte, ils reviennent nous lécher les bottes...